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La pratique sexuelle du candaulisme

La pratique sexuelle du candaulisme n’est pas récente, et elle se répand tout de même de plus en plus, pour le bien du couple principalement.

S’il est une pratique à la fois égoïste et à la fois non égoïste, c’est bien celle-ci. Autant dans le milieu du libertinage ou de l’échangisme, chaque participant fait l’amour à une autre personne, autant le candaulisme ne concerne qu’une partie du couple, l’autre étant spectateur, voyeur, et cocu, tout à la fois.

Le candaulisme est une demande de l’homme dans les ¾ des couples.

Vaut mieux être plusieurs sur une bonne affaire que seul sur une mauvaise !

Voir sa femme dans les bras d’un autre homme et en plus, la voir faire l’amour et y prendre du plaisir, beaucoup de plaisir, c’est le plaisir principal de cette pratique adultère et consentante, mais pas seulement, heureusement. Voir sa femme embrassée, pénétrée, jouir, être excitée par un autre homme, alors qu’elle est souvent devant soi, c’est une douce torture qui hante tous les hommes. Peu et de plus en plus partagent cette idée et ce fantasme, certains le réalise, évitant ainsi l’adultère dans le vrai sens du terme.

Ce partage de la moitié de son couple peut être vu par le mari, le cocu, mais ce partage peut être fait sans sa présence. Le cocu, le mari candauliste profitant seulement des histoires de sa femme, peut être des récits du cuckolder (cocufieur), ou servant également à laver les traces laissées par les ébats des uns et des autres.

Le candaulisme en deux mots masochisme et sadisme

Voici pour les grandes lignes. Pour plus de détails, voici la suite.

Le candaulisme inversé

Cette fois, ce n’est plus l’homme qui est cocu, mais la femme. L’homme fait l’amour avec d’autres femmes (ou hommes) sans que l’épouse ne participe.

Le candaulisme virtuel

Grand avènement grâce à internet. Sur les forums ou autres clubs et communauté, l’homme ou la femme sont offerts aux internautes et à leurs commentaires. Cela allant parfois jusqu’à la rencontre, ou à des moments privilégiés grâce à des messengers. Derrière son écran, le candauliste poste des photos de sa femme et expose ce qu’il considère comme étant son trésor aux regards « pervers » d’autres hommes sandalistes, ou juste voyeurs, afin de faire naitre chez eux une excitation sexuelle et de recueillir leurs ressentis. Bien entendu, le candauliste peut dépasser le stade des simples commentaires pour demander de voir éjaculer tous ces hommes sur les photos de sa partenaire ou décider que le virtuel devienne réel et en inviter certains à partager de bons moments en trio.

Le candaulisme directif

Pour cette forme du candaulisme, le mari n’est plus seulement le cocu, mais c’est lui qui dirige les ébats et l’action qui se passe ou non devant lui. Il peut donner ses ordres à distance, comme il peut participer par ses ordres aux ébats charnels de sa femme et du ou des participants.

Le caractère directif du candaulisme apparait, aussi, à travers les limites du jeu mises en place par le partenaire et qui devront être respectées afin de garantir la satisfaction de toutes les attentes du candauliste.

Cette forme de candaulisme est, d’une part, un moyen pour la femme d’être guidée par son conjoint et d’oser faire des choses qu’elle n’aurait jamais osé lui proposer et, d’autre part, une occasion pour elle d’être guidée et protégée lors de relation sexuelle avec d’autres inconnus.

Bien entendu, le candaulisme directif ne doit en aucun cas devenir une source d’humiliation pour la femme ou un moyen pour la forcer à faire des choses qu’elle rejette.

Le candaulisme passif

Le plus répandu et le plus connu de part le fait. Le candauliste ne participe pas, il n’a pas son mot à dire (ou presque). En aucun cas il ne doit être humilié, ou dans les limites de sa demande. Il éprouve du plaisir à être trompé et à voir ou savoir sa femme prendre du plaisir avec d’autres partenaires. Il se peut même qu’il n’ai pas connaissance du ou des partenaires. En fait, l’excitation vient de l‘avant acte, alors que la femme se prépare à rejoindre son amant, de l’acte en lui-même et de l’après « infidélité ».